28 mars 2009

FRANCOIS, TOUJOURS QU'UNE VICTOIRE!!!

Premier match de ce week-end et, beaucoup de victoire.
On comprend Mimi qui, en numéro 10 a du mal a délivrer des passes décisives car son numéro 9, ne reste qu'à une victoire.
En effet, avec un départ de 3 défaites, François réagissa avec un bon pronostic sur le match FC Retz-Frossay mais sa joie de victoire ne durera pas longtemps car depuis, 3 défaites!!!
Même Arnaud Le tallec et Marine Porcher (la soeur de Belon) font mieux.
Va-t-il réagire? Réponse ce dimanche sur le terrain.



LES BLEUS CONTOURNENT LE PIÈGE
Par Cédric ROUQUETTE, à Kaunas
L'équipe de France a correctement mené son match-piège en Lituanie et l'a remporté par la même marge qu'il y a deux ans (1-0, but de Ribéry). Il lui suffira de battre les Baltes au Stade de France, mercredi, pour s'emparer de la deuxième place du groupe 7 et rester maître de son destin.


SUR LE MÊME SUJET La fiche du match Le film du match Résultats et classement


Les problèmes semblent se déplacer pour l'équipe de France dans son groupe de qualification pour la Coupe du monde 2010. Pour une fois, en ces temps de crise, c'est plutôt en sa faveur. L'enseignement majeur de la soirée de samedi, c'est qu'il sera difficile d'aller chercher la Serbie, seule en tête avec 12 points après sa victoire en Roumanie (3-2). Mais, même vu de la troisième place, le classement du groupe 7 a pris des allures plus engageantes avec la victoire des Bleus en Lituanie (1-0). Ses proportions et son mode opératoire rappellent le succès acquis il y a deux ans sur la route de l'Euro 2008. La note artistique serait même un rien supérieure. Le sale coup semblait plus proche il y a deux ans.
Les Français, samedi, n'ont pas vraiment donné l'impression que ce match pouvait leur échapper, même lesté d'une certaine lenteur et de gestes maladroits. Ajoutons que le but de Ribéry, intervenu à la 67e minute, a un peu plus de gueule que la frappe tendue d'Anelka. Il a surtout une vertu essentielle : l'équipe de France redevient maîtresse de son jeu. Battre à nouveau la Lituanie au Stade de France, mercredi, lui donnera la deuxième place de la poule, potentiellement qualificative. Elle oubliera qu'à Kaunas, ce fut laborieux. Après tout, c'était prévu.

Peu d'occasions de briller
Si Klimavicius n'avait pas sauvé ien lituanien Karcemaskas en giclant devant Toulalan (44e), l'équipe de France aurait récolté la récompense de son patient travail d'usure en première période. Face à une Lituanie assez peu réformée dans sa philosophie défensive, les Bleus avaient alors confisqué le ballon dans des proportions staliniennes, mais pour un résultat très pauvre en occasions de but. Une frappe de Gourcuff après avoir lui-même lancé Ribéry et Evra vers le but (15e), un centre vicieux de Ribéry qui n'est pas arrivé sur Henry plein axe (40e), le gardien lituanien n'eut pas de véritables sueurs froides jusqu'à l'épisode Toulalan, immédiatement suivi d'un une-deux Henry-Luyindula avorté in extremis. Les poutres maîtresses du jeu tricolore étaient bien visibles : plus de disponibilité que naguère de la part de Toulalan et des latéraux aux abords de la surface de réparation adverse, l'influence retrouvée de Gourcuff et son entente perceptible avec le côté gauche Ribéry-Evra, l'abandon de la politique des cadeaux dans le travail défensif, et l'apport de Luyindula - la grosse surprise du onze de départ - dans la conservation du ballon et la remontée du bloc. Mais cette application ne s'est jamais départie d'une certaine lenteur dans le rythme, d'une grosse difficulté à le varier et d'une présence assez pauvre dans la surface.


L'usure a fait son oeuvre

En pareille situation, les événements peuvent évoluer de deux façons. La première : l'équipe qui attaque se crispe de son impuissance et renforce l'équipe qui défend dans ses convictions et son agressivité. C'est le scénario qui commençait à prendre forme lorsque Raymond Domenech choisit de remplacer Luyindula par Benzema (64e), un petit quart d'heure après que l'attaquant du PSG eut mal exploité un ballon en profondeur de Toulalan en poussant trop son ballon (51e). Le second scénario-type, c'est que l'usure des courses sans ballon commence à faire son oeuvre au détriment de l'équipe qui défend. A Nantes, en février 2007, les Baltes avaient tenu jusqu'au bout avec cette forte discipline et n'avaient lâché que sur de vraies attaques placées tricolores (2-0). Cette fois, ça a cédé plus tôt. Alors que, pour la plupart, ils ne jouent pas en Championnat en ce moment, leur quadrillage commençait à devenir plus élastique quand Ribéry, sur une passe de Gourcuff habile maître du tempo, trouva l'ouverture d'une frappe très pure aux vingt-cinq mètres (1-0, 67e).


Délestés de leur trouille

L'équipe de France commit alors l'erreur de reculer son bloc et d'offrir aux Lituaniens quelques vagues munitions dans une forêt de jambes, mais l'équipe de José Couçeiro était trop limitée pour bâtir une résistance solide. Nasri, entré à la place de Gourcuff (78e), vit sa balle de break contrée (81e), exactement comme celle d'Henry (83e). L'ambiance devenue électrique, M. Braamhaar siffla la fin du match sur passe lituanienne à destination de la surface adverse ! Les Bleus s'enlacèrent alors comme délestés d'une véritable trouille. C'est la première fois de la saison qu'ils gagnent un match sans encaisser de but. Ils quittent Kaunas avec l'impression de se remettre à l'endroit.

Rédaction: C.A.V.E. de notre envoyé spécial GALOUCHE

LES VAINQUEURS DU MATCH

ABEL Olivier
ALATE Mamert
AVERTY Ludovic
BATARD Baptiste
BATARD Guillaume
BATARD Jason
BERTIN Alain
BEZIAUD Sébatien
BIRAUD Anthony
BIRAUD Kévin
BORDAGE Franck
BOUCHER Xavier
CAIL Raphaël
CHAUVET Julien
CLAVIER Mickaël
CORNET Tany
COURTINE Christophe
DURAND Eric
DURAND Gaël
DURET Maxime
FROSTIN Camille
GAUTIER Nicolas
GAUTIER Géraldine
GAUTREAU David
GIRAUD Sébastien
GRANDJOUAN Stéphane
GUILBAUD Emeric
GUITTON Alexandre
HAINCAUD Mathieu
HUCHET Laurent
JAUNATRE Benoît (1)
JAUNATRE Benoit (2)
JOSSE Ludovic
JOUAN Sébastien
LE TALLEC Arnaud
LEROY Medhy
LOIRAT Baptiste
LAMBERT Corinne
LAMBERT Philippe
LEDUC Emmanuel
MERCIERE Maxime (1)
MERCIERE Maxime (2)
MERCIERE Philippe (1)
MICHAUD Mickaël
PORCHER Marine
RACINE Alain
RAMBAUD Vincent
RONCIN David
SORIN David
VDB Julien
INCONNU

CLASSEMENT GENERAL (7 victoires) :

PERSONNE

6 VICTOIRES (c'est jolie en vert)

GAUTIER Géraldine
BOUCHER Xavier
GUILBAUD Emeric




4 commentaires:

galouche a dit…

CLASSEMENT GENERAL:

6 VICTOIRES:
GAUTIER Géraldine
BOUCHER Xavier
GUILBAUD Emeric

5 VICTOIRES:
BERTIN Alain
BIRAUD Kévin
CORNET Tany
DURAND Gaël

4 VICTOIRES:
ALATE Mamert
AVERTY Ludovic
BATARD David
BEZIAUD Sébastien
BIRAUD Anthony
BORDAGE Franck
CHAUVET Julien
CLAVIER Mickaël
EDELINE Gwendoline
FROSTIN Camille
GUITTON Alexandre
HUCHET Laurent
JAUNATRE Benoît (1)
JOSSE Ludovic
JOUAN Sébastien
LAMBERT Philippe
MICHAUD Mickaël
INCONNU

3 VICTOIRES:
ABEL Olivier
BATARD Baptiste
CAIL Raphaël
DURAND Eric
DURET Maxime
GAUTIER Nicolas
GAUTREAU David
GIRAUD Sébastien
GRANDJOUAN Stéphane
HAINCAUD Matthieu
LAMBERT Corinne
MERCIERE Maxime (2)
MERCIERE Philippe (1)
MERCIERE Philippe (2)
RACINE Alain
RAMBAUD Vincent
SORIN David
THIBAUD Mickaël
VDB Julien

2 VICTOIRES:
BATARD Guillaume
BATARD Jason
COURTINE Christophe
JAUNATRE Benoît (2)
LE TALLEC Arnaud
LEROY Medhy
LOIRAT Baptiste
LEDUC Emmanuel
MERCIERE Maxime (1)
OLIVE John
PORCHER Marine
RACINE Thomas
RONCIN David


1 VICTOIRE:
ROUSSEAU François

galouche a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
GALOUCHE a dit…

QUE C'EST BEAU COMME BLOG...
J'AI SUIVI TON IDEE FRANCKY, ET TU AVAIS RAISON, C'EST VRAIMENT JOLIE EN VERT;

tomtom (londres) a dit…

on dirait la SHS pas terrible!!!
je comprend ton avi galouche mais francky le bleu et blanc serait tellement mieu!!!
je blague rouge et noir y a pas photos!
biz a tous
see you soon